Liz chez les fées....

Lorsque Liz eut enfilé son cadeau de Noël, elle se leva et se dirigea vers le parc des Saules. Lorsqu'elle fut rendu, elle marcha un moment, elle cherchait les trolls qui gardaient la porte. Tout en chercha, elle demandait:

Y'a quelqu'un, j'aimerais parler à Tristan ??? ..... Allo, quelqu'un peut m'aider ?

Devant le grand chene qui abritait le chateau du seigneur du domaine des Saules, elle vut les 2 gardiens Troll toujours en poste.

Vous chercher Tristant ? Il vien tout juste de passer avec une fille qui voulais avoir une audience avec Lady Miel d'automne.

Vous voulez qu'on l'appelle ?

Liz eut l'air très déçu.... il était déjà avec une autre fille....

Mouais, bonne idée ! Merci beaucoup, c'est super gentil ! Ah oui en passant Joyeux Noel !

Les deux trolls se consultèrent du regard et il sourirent lorsque Noel fut évoquer. L'un deux parti ensuite vers l'interieur du palais pour aller voir si Sir Tristant était libre.

Quelques minutes plus tard, Tristant ressorti avec le troll.

Élizabeth, quelle agréable surprise. En quoi ^puis-je vous aider ?

Liz eut l'air vraiment gênée, en plus de se souvenir de son nom, il trouvait ça une agréable surprise....

Ben euh, je venais pour dire merci pour le cadeau de Noël.... c'est vraiment gentil. Et euh.... en même temps, ben ça me tentait de jaser avec toi, euh vous.

Tristant gracia Liz d'une sublime sourir.

Élizabeth, je vous en pris, le vous n'est pas d'usage envers moi. Je suis votre humble serviteur pas votre souverain...

Il tendis son bras a Liz

Venez, marchons. Le lac est superbe a ce temps-ci de l'année.

Liz pris son bras un peu maladroitement et commença à se diriger vers le lac.

Bon je vais dire tu, si toi aussi tu le dis. Sinon ça serait pas juste !

Liz pris une pause, elle semblait chercher ce qu'elle allait dire.

En fait, je me posait une question. Si j'ai bien compris, habituellement fée et vampire font pas trop bon ménage..... pourquoi Lady Miel d'automne, nous aime autant. Le cadeau que j'ai reçu est vraiment génial, mais c'est pas un peu trop ? Et son mari, il avait pas l'air à trop nous aimer.... je suis pas sûre de tout comprendre. Peut-être que tu peux m'aider ?

Tristant semblais tirailler entre son role de fée et celui d'ami. Il est vrai que les vampires et les fées ont une longue histoire de conflit, mais les temps nouveau avait changer beaucoup de chose. Jusqu'ou pouvait-il parler sans mettre Lady Miel dans l'embarras...

Il est vrai que féé et vampire ont une longue histoire de conflit et que votre ... stabilité.. vous rends difficile a supporter en temps normal, mais le temps et le monde a changer.

L'humanité qui vivait autrefois dans l'ignorance connais aujourd'hui notre existence. Si au départ cela a permis au féé de revenir en force grace a l'émerveillement et au occasionnel merveille produite par les humain, nous avons aussi du faire face a des opposant farouche.

Vous voyez, il existe plusieurs organisation qui ne vois pas d'un bonne oeil les créatures surnaturelle et qui aimerais bien pouvoir avoir un pouvoir absolu sur nous. Depuis votre arriver a Chicago la toile du destin semble avoir tourné autour de votre groupe et Lady Miel n'a pas échappé a ce maelstrom.

Vous êtes hors du commun pour des vampires, et je crois que Lady Miel d'automne préfère vous avoir de son coté. De plus vous avez prouver plusieurs fois votre sympathie a notre égard et il est normal que nous vous rendions la pareil.

Il arreta en bordure du Lac et se tourna vers Liz. Il regarda les vetement de Liz qui n'était pas les plus impeccable, souvent troué ou endomagé.

Me permetteriez-vous ... je veux dire, me permettrais-tu de t'offrir un présent a mon tour ?

Lorsqu'elle vit les yeux de Tristant regarder ses vêtements, elle fut vraiment gêné. Elle aurait dû penser à mieux s'habiller, surtout pour venir voir les fées....

Un cadeau, mais moi j'en ai pas pour toi. Ça serait pas tellement juste non ?

Tristant rit de bon coeur lorsque Liz parla de justice en reference au manque de cadeau de sa part.

Ce n'est pas pour la justice que je te fais un présent Lady Elizabeht, c'est pour la beauté et le plaisir de la bonne compagnie. Allez ne soyez pas gener, je ne t'offre pas la lune, juste son reflet.

Tristant s'avanca jusqu'a la taille dans l'eau glacé. Puis il sembla prendre quelque chose a la surface de l'eau pres du reflet de la lune. Il revint donc avec un splendide corsage blanc ainsi qu'une jupe azure un peu guerriere fendi des deux coter permettant une aiseance au comabt. Ces deux piece de vetement ne manquerait certe pas de mettre les attrait feminin de Liz en valeur au pasage.

Satisfait du regard de Liz, il repris son bras et marchait vers une maisonnette en bordure du lac.

Je sais que vous n'êtes pas tres robe alors je me suis dit que cela ferai plus l'affaire.

Il ouvrit la porte de la maisonnette et une agreable chaleur accueilla Liz.

Bienvenu dans mon humble demeure Lady Elizabeth

Liz entra dans la maisonnette encore sous le choc de ce qui venait de se passer. C'était la première qu'un homme lui offrait le reflet de la lune, elle en était abasourdi. Elle ne savait plus trop comment agir. Elle regarda autour d'elle et vit une pièce entrouverte où elle pouvait se changer. Elle se dirigea tranquillement vers là avec les vêtements à la main.

Juste un moment, je reviens, je vais aller me mettre belle moi aussi. C'est vrai que je suis souvent pas trop présentable et je vais pouvoir faire aussi honneur à ton cadeau.

Liz ferma la porte de la pièce qu'elle remarqua à peine. Elle se changea rapidement, enfila la jupe et le corset. Contrairement à ce qu'elle s'attendait, elle était confortable. Elle essaya de placer ses cheveux convenablement et ressorti

Et puis de quoi j'ai l'air ?

Le sourire et le regard de Tristant suffir a convaincre Liz du succès de son apparence.

Vous avez l'air d'une valkyrie, une guerriere qui maitrise les arts de la guerre et de la beauté.

Je suis heureux que la cote de maille et le corset s'hamonise aussi bien, je n'aurais pas voulu nuire au présent de ma souveraine.

Ne restera plus qu'a vous armer Lady Elizabeth...

Les yeux de Liz étaient pétillants, un peu comme lorsqu'elle avait rencontré Casey.

M'armer ? Mais c'est pas vraiment nécessaire. En fait, je suis meilleure avec mes poings et mes griffes. De plus, je pense que je serais gênée, tu m'as déjà donner ce corset et cette jupe, et beaucoup de ton temps.

Tristant se mit a rire lorsque Liz parla de son temps.

Mais voyons Elizabeth, mon temps est loin d'être si précieux et a vrai je crois qu'il prends de la valeur lorsque je le passe en votre compagnie.

Mais bon d'accord, oublions les armes pour le moment. Peut être un verre de quelqe chose. J'ai d'excellent rafraichissement.

Venez, passons au salon nous serons plus confortable pour discuter.

Le salon en question était relativement modeste, loin d'être aussi somptueux que le palais de Lady Miel, il ressemblais d'avantage a un modeste camp de chasse. Un sofa en bois rond était recouvert de fourrure épaisse et un atre en pierre accueillais un agréable feu. Pour la première fois de sa vie, Liz ne senti pas de crainte instinctive vis-a-vis des flammes qui consumait une buche d'érable libérant un arrome et une chaleur agreable.

Tristant alla jusqu'a un petit coffret et l'ouvrit.

Je n'ai pas de quoi me vanter en terme de cellier mais j'ai quelque bonne bouteille de bourbon, de liqueur d'orange ou de framboise et un excellent vin de glace.

Avez vous une préférence?

Liz était impressionnée par la chaleur que dégageait l'endroit malgré la modestie de ce dernier.

Lorsque Tristant lui offrit à boire, elle fit un sourire un peu triste, elle aimerait tant boire ces alcools pour de vrai.

J'aimerais bien du vin de glace, j'en ai jamais bu.....

Tu sais j'aime beaucoup ta maison, c'est confortable et je ne sais pas pourquoi le feu ne m'intimide pas comme d'habitude....

Tristant senti que Liz voulait dire quelque chose de plus, mais qu'elle hésitait.

Tristant souri aimablement a Liz, il sentait qu'elle lui cachait un petit quelque chose, mais il se dit que l'alcool et temps passé ensemble finirait pas ouvrir la boite de Pandore.

Il servit le vin dans des coupes et une agreable odeur accompagna l'arome. Liz se setnais comme dans un reve. Lorsqu'elle porta la coupe a ses levre elle fut surpris de gouter le vin... Elle y ajouta du sang en se mordant la langue que lorsque vint le moment d'avaler le liquide frais et sucré.

Les arome et l'alcool se marierent bien avec le sang et Liz senti comme une agréable chaleur lui monté au visage... Des souvenirs du temps passé le refirent surface.

Liz se délecta du vin, en pensant à ce qu'elle était lorsqu'elle était humaine. Elle pensa à ses rencontres avec des gars, ses relations. Elles s'étaient toujours terminées par un échec. Et elle savait pourquoi, elle avait toujours passé sa famille avant. Combien de fois, elle avait laissé tomber son chum pour aller aider un des ses frères. Et lorsque Charles n'aimait pas un de ses copains, elle le laissait sur le champs sans explication.

Elle se rendit compte qu'aujourd'hui ça serait encore plus vrai. Si ça famille s'en allait, elle la suivrait au bout du monde, peut-importe les motifs. Elle était tellement jalouse, de Rick et Randy, Sandra et Scorp, et Balance et Valean, eux pouvaient être ensemble pour toujours.

Est-ce que ça vallait la peine de continuer à flirter avec ce fée. Encore là, est-ce qu'il était vraiment intéressé par elle ?

Tristant, j'ai une question. Pourquoi vous faites tout ceci pour moi ? Est-ce que je vous intéresse vraiment, ou vous êtes juste galant et poli ?

Si un coup de poing de Liz pouvait assomer un troll, le tacte de celle-ci manqua pas d'assomer notre pauvre fée. Il manqua presque de s'étouffé dans son vin lorsque le commentaire surgit de nulle part.

Vous en poser de ces droles de questions. Vous savez, la magie d'une rencontre, amoureuse ou amicale, réside dans l'incertitude. On dit souvent que l'amour entouré d'un brouillard 'incertitude qui ne se dissipe qu'au premier baiser.

Je ne connais pas plus vos intentions que vous ne connaissez les miennes et pourtant j'aimerais continuer cette petite danse que nous avons entamer lorsque je vous ai offert le reflet de la lune.

Nous nous quitterons avant le lever du soleil, mais ce reve que nous vivons ne merite-t-il pas d'être vécu sans question ?

Pensez-y ma chère, voulez-vous vraiment que je réponde ?

La voix et le visage de Tristant était charmant, tout ceci était-il donc qu'un compte de fée.

Liz était vraiment mal à l'aise, elle avait le don de briser un moment qui était parfait jusqu'à maintenant. Elle devait trouver un moyen de se reprendre. Dans le fond, il avait raison, pourquoi se faire chier à savoir trop les chose.

Liz lui souria.

Tu sais, tu as complètement raison. Je suis peut-être pas habituer au jeu de la séduction, encore moins de me faire dire des choses aussi romantiques. Depuis le début de la soirée, j'ai l'impression d'être dans un conte de fée. Disons que je n'ai plus aucuns repaires et il y a longtemps que je n'ai pas eu une soirée aussi merveilleuse avec un homme. Mais je te promet que pour le reste de la soirée je vais me laisser aller, de tout façon, c'est quand même un peu pour ça que je suis venue ici. C'est évident que je voulais remercier Lune de Miel pour son présent, mais j'avais terriblement envie de te revoir, sans que toute ma famille soit présente.....

Tristant rempli a nouveau son verre de vin ainsi que celui de Liz. Il se leva ensuite et se dirigea vers un étrange aparatus sur une commode. Il effleura une des perle qui gréait l'étrange appareil et une musique se fit entendre.

On dit que la musique a le pouvoir d'élevé l'ame et de rendre les gens heureux...

Gracieusement il marchant jusqu'a une autre commode de laquelle il sortie une boite. Il s'approcha ensuite de Liz avec celle-ci.

Il l'ouvrit et en sorti un petit coquillage ressemblant a une huitre...

Tu vois ce coquillage il est comme votre coeur Lady Elizabeth. Si vous essayer de le forcer... jamais il ne s'ouvrira...

Il tendi le coquillage a Liz pour qu'elle tente de l'ouvrir... Malgré toute sa force le coquillage résista ...

mais lorsque vous lui murmurer des mots doux acompagner de geste tendre....

Tristant murmura les mots .... vous êtes ravissante lady Élizabeth... et déposa un doux baiser sur les levres froides de Liz...

Liz senti le petit coquillage s'ouvrir entre ses mains.

Tristant retourna a son siege, un sourire charmant sur les levres...

C'est peu etre un conte de fée Lady Élizabeth, mais c'est que je n'existe pas dans votre monde. Je suis un fée et je ne peux exister quand dans ce monde de rêve et de beauté. Mais je vous visiterai chaque jour pendant votre sommeil et vous pourrez me visité ici dans se royaume...

Et si vous désirer vraiment savoir la réponse a votre question, pourquoi ne le demandez vous pas a une fleur...

Tristant souri a nouveau tendant une rose au pétal écarlate. Liz baissa la tete un peu gener et remarqua finalement la perle qui sommeillait dans le coquillage...

Liz était complètement subjuguée par tout ce qui venait de se passer. Elle ne savait pas comment réagir, pourtant elle avait rêvé d'un moment comme celui-ci toute sa vie.

Elle prit délicatement la perle, l'examina et la remis dans sa coquille qu'elle déposa. Elle prit la rose et fit un sourire à Tristant.

Elle commenca à lui arracher les pétales en répétant comme lorsqu'elle était adolescente.

Il m'aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout.....un peu, beaucoup, passionnément......

Elle continua ainsi jusqu'à la dernière pétale qui tomba sur......

Liz était perdu dans sa comtine. Elle ne realisa pas que les petale ne se terminait jamais... finalement un mot se glissa dans sa comtine, elle le prononça sans trop y réfléchir.

il m'aime beaucoup, passionnement.... pour l'éternité....

Sortant de sa trance elle remarqua qu'elle avait retirer le dernier petale. Elle hésitait entre lui demander comment pouvait-il affirmer une tel chose et simplement lui ouvrir ses bras. Tristant coupa court a cet hesitation en lui prennant les mains et en plongeant son regard dans le sien.

Lady Elizabeth, ce que la rose vous a dit est vrai, je ne peux tout expliquer. Mais je dois vous révélé un secret qui me ronge depuis notre première rencontre au palais. Je ne suis pas un fée, je suis en fait un chimère, une créature du rêve. Je ne vie que dans le rêve et ne peux donc exister en dehors de se monde.

Liz eu une étrange sensation de déjà vue... elle était enfant et marchait au bras de tristant qui était a peine plus vieux qu'elle. Le monde autour d'eux était féérique... magique... Liz s'entedit prononcé des voeux qu'elle ignorait avoir prononcé avant aujourd'hui.

Que la lune m'en soin témoin, moi, Lady Elizabeth de La Croix, jure de t'aimer et de t'honorer par dela le reve. Je ne suis peu etre plus la jeune fée que j'était tristant, mais je reste qui je suis... et je ...

Les mots s'étranglèremt dans la gorge de Liz... Cette étrange vision de son passé la perturba... elle senti un vertige et perdu momentanément conscience a son réveil Tristan était près d'elle.

Lorsque Liz se réveilla, elle se perdit dans les yeux de Tristant. Ses yeux, si beaux et si doux dont elle avait toujours rêvé, étaient là devant elle. Elle se blotti dans ses bras.

Tristant, je ne suis pas sûre de comprendre tout ce qui se passe, mais enfin, j'ai l'impression d'avoir retrouver une partie de moi qui me manquait, je peux le voir dans tes yeux et je le ressent au plus profond de mon coeur. Par contre, il va falloir que tu m'explique ce qui m'est arrivé, pourquoi ne suis-je plus une fée. Et toi, qu'as-tu fait tout ce temps ???

Tristant serra Liz dans ces bras avec compassion.

C'était il ya des siècle de ça. A une époque ou ton corps respirait de vie. Lady Elizabeth de la Croix, comptesse du royaume de Vallon d'or. Tu avais perdu ton époux, au main d'un dragon quelque hiver avant et était devenu sombre et triste. Tes sujets qui te respectait commencèrent a te craindre.

C'était bien avant ma naissance. Un jour un Knocker a demander audience et t'offrit un cadeau empoisonné. Il recrérait ton amour perdu en chimère et lui assurerais une survie au sein des fée si tu acceptais de le libéré de son maitre, un tyrant de la cours des 3 chapels.

Raviver par cette espoir, tu acceptas cette offre et ces ainsi que je suis né. Je possèdait les rêves et les atour de l'ancien compte mais j'était différends. Je possèdais un défaut que le Knocker n'avait pas prévu... je ne vous aimais pas. Folle de rage contre le Knocker vous avez ordonner qu'il soit puni pour sa mauvaise blague. Il implora la clémence de votre majesté, arguant que l'amour ne pouvait pas être créé mais qu'il pourrait surement vous aider a conquérir mon coeur. Désespéré, vous avez accepter.

Pendant les années qui suivirent, je devint de plus en plus impliquer au sein de la société fée, au point ou je suis presque devenu un fée moi meme au yeux des autres. Au finale c'est sur le champs de bataille que vous avez conquérit mon coeur. Je vous ai vu vous battre pour des idéaux et des valeurs. Vous étiez différente des autres souverain, car vous n'hésitiez pas a mettre votre propre vie en danger pour vos sujets.

Ce jour la vous avez sauvez la vie de plusieurs fée et la mienne. Jamais je ne l'oublierai... malheureusement vous êtes mortes ce jour la. Votre esprit de fée a quitter votre corps et j'ai attendu votre retour depuis. Je ne savais pas que vous étiez devenu vampire, cela expliquerais pourquoi jamais vous vous êtes réincarner. Patiemment j'ai servis toute les réincarnation féérique de votre ame fée jusqu'a aujourd'hui espérant retrouver celle pour qui je voudrais aujourd'hui donner ma vie.

Liz écouta attentivement l'histoire. Elle ne pouvait y croire, elle une comtesse, une fée....

Si je comprends bien toute l'histoire, c'est la première fois depuis que je suis morte sur le champs de bataille que l'on se revoit réellement ? Depuis tout ce temps vous m'aimez sans pouvoir me prendre dans vos bras.....

Liz approcha doucement ses lèvres de celles de Tristant et murmura


...sans pouvoir m'embrasser ?

Elle l'embrassa délicatement tout en restant blotti dans ses bras.

Tristant lui retourna son baiser la serrant contre lui. Le temps s'arreta pour Liz et le reste de la soirée sembla se derouler comme dans un compte de fée.

Des caresses et des gestes sensuel reveillere la femme en Elizabeth, retrouvant pour un moment une parcelle de cette humanité qu'elle avait choisi de mettre de coter jadis.

Le reve se poursuivit jusqu'au petit matin. La, coucher contre Tristant elle s'assoupi.... A son reveil elle serait dans son lit, dans sa chambre... Une rose arborant un seul pétale deposer sur sa table de chevet serait l'unique témoin de cette nuit d'amour, de plaisir et de reve.