Miachel dans les salons

Morgan remontait ses lunettes noires sur sa tête alors qu'elle entrait dans le salon. Cet endroit lui faisait du bien malgré qu'il ne fût qu'un semblant, une pâle imitation des salons français d'une autre époque. Comme d'habitude, elle avait laisser son bâton de golf dans son haven, il n'était pas assez discret, mais elle sentait l'étuit du couteau contre sa cuisse et cela la rassurait.

Elle était à la recherche de Michael. Elle voulait accepter son invitation. Son regard fit le tour de la pièce puis se posa sur l'homme. Il ressemblait à une bête traquée, poussée à ses limites, épuisée. Elle savait depuis longtemps que cette combinaison est dangeureuse. Même avant sa transformation, alors qu'elle allait dans des chasses à cours, elle savait que le renard dans cet état était dangeureux car imprévisible.

Elle s'approcha doucement et pris place à ses côtés. Puis parla à voix basse.

Eh bien mon ami... Vous semblez... Elle s'arrêta. Elle venait de voir l'homme qu'onservait Michael. Elle pris donc la main de Michael doucement et l'entraîna dehors.

Une fois à l'extérieure, elle le dirigea vers les ruelles sombre de la ville. Elle s'assura de ne pas être suivit avant de s'arrêter pour parler.

Que se passe-til mon ami. Vous semblez si... fatigué, faible et appeuré.

Elle plongea son regard dans celui de l'homme. Elle y cherchait la vérité. Il n'y avait qu'un endroit où elle pouvait le mettre en sécurité, chez elle, mais c'était dangeureux et il était si faible. Elle regarda un dernière fois autour d'elle pour s'assurer qu'ils étaient seul, puis elle enleva ses gants, laissant voir ses bras d'un blanc immuculés. Elle détourna la tête pour Michael ne voit pas les cros, puis mordit dans son poignet droit, juste au dessus d'un cicatrice, encore plus blanche que sa peau. Quelques gouttes d'un rouge vifs perlère sur la peau si blanche lorsqu'elle recula la tête.

Elle fit assoire Michael, puis s'accroupi et posa son poignet contre les lèvres de l'homme. Elle s'avait que son sang était puissant et pourrait sans doute donner assez de force à cet homme pour un moment, le temps de les cacher tous les deux.

La surprise initial ceda au plaisir puis a l'extase de cettedrogue qu'est le sang vampirique... Michael but une bonne quantité et lorsque morgan retira son poignet celui-ci hesita a le rattraper.

Il se blotti contre le corps froids de Morgan et se demanda qu'elle était cette étrange émotion qui l'habitait maintenant. Elle était puissante et le dirigeait irremediablement dans les bras de Morgan. Il fini par se détaché de l'emprise de Morgan et plongea son regard dans celui de Morgan... Il n'apprendrait donc jamais...

Morgan j'ai quelque chose pour vous, quelque chose que je dois cacher. Ma vie est en danger, et si vous me repousser je mourai assurement. J'ai voler ce pourquoi ma famille c'est battu depuis des génération. Un décret présidentielle qui l'incrime et qui dicte la ligne de conduite des historiens. Il n'existe que 3 volume de cemanifeste et seul les grand verificateur peuvent avoir acces a ces documents. Seul les famille loyal et sans tache depuis au moins 4 génération peuvent aspiré a ce poste et les candidat rejeté sont souvent retrogradé et traiter comme des ratés.

Je vous empris aidez moi, je l'ai fait pour vous !

des larmes apparurent dans les yeux de Michael. Il était briser, épuisé... le sang le soutiendrais pour quelque temps mais il ne tiendrais pas eternelement

Morgan embrassa Michael sur le front

Mon pauvre ami. Nous ne sommes pas en sécurité ici.

Elle était stupéfaite par les propos de Michael. Elle aurait aimé qu'il ne fasse pas quelque chose d'aussi insensé. Tant qu'il n'était pas un paria il aurait pû lui être utile de l'intérieur. Elle devait change ses plans. Elle aurait dû lui donner le sang bien avant, mais il était trop tard maintenant pour voir cette erreur. Il lui apportait tout de même un document important et son savoir restait intact.

Elle aida Michael à se relever.

Écoutez-moi bien Michael. Je vais vous mener à un endroit qui. à ma connaissance, est sûr, mais nous allons devoir marcher un bon moment pour se rendre et ne pas être suivi. Je vous demande encore un petit effort et du courage. Lorsque nous serons à l'abris, vous pourrez vous reposer et ensuite nous parlerons.

Elle le mena chez-elle, par plusieurs détours, toujours en vérifiant par-dessus son épaule pour ne pas être suivi.

Après une sérieuse marche, ils arrivèrent dans son repère, petit appartement qui logeait deux à l'étroit. La seule personne qu'elle ait jamais mené à cet endroit. Elle espérait ne pas le regrèter.

Une fois à l'intérieur, elle aida Michael à s'étendre sur le lit. Elle n'en avait pas besoin puisqu'elle utilisait un endroit plus sombre pour son repos.

Voilà... ce n'est pas grand chose, mais vous y serait confortable pour dormir.