Épilogue - La ville

Les jours qui suivirent l'insurrection trouvèrent les habitants de Néo-Montréal agissant dans une harmonie qu'aucun décret dictatorial n'avait réussit à créer. Mus par une foi nouvelle et par l'espoir de jours meilleurs, les citoyens hâtèrent la reconstruction de la Cité afin d'effacer les traces des conflits violents qui avaient ébranlés ses rues l'espace de quelques heures. Grâce à la coopération des Citoyens de l'Harmonie révélant des trésors perdus des temps anciens, ce qui fut autrefois le Stade Olympique résonna pour la première fois depuis plus d'un siècle avec les rires et les pleurs de spectateurs venus redécouvrir le septième art. Les Dériveurs, aidés par divers surdoués et de simples hommes et femmes, mirent fin à la propagande sur les ondes et commencèrent la diffusion d'émissions libres et variées.

Personne ne sut jamais ce qu'était le Président. Vampire habile, esprit incarné de la Cité, marionnette du psychopathe, démon resurgi des enfers, simple mortel préservé par des miracles de la médecine ou de la cybertechnologie expérimentale, chacun y alla de sa propre théorie. Le kérosène des réservoirs pleins de l'hélicoptère brûla si intensément et si longtemps qu'il fut impossible de terminer si les quelques restes retrouvés appartenaient au pilote ou à son passager, et la carcasse de métal tordu et carbonisé résonne presque audiblement de la terreur et de la douleur qu'éprouvèrent ses occupants lorsque leurs corps furent dévorés par les flammes.

Un peu partout s'élèvent maintenant des monuments à la mémoire des morts alors que l'air est encore lourd des cendres des corps incinérés dans les immenses fours crématoires de la ville. Là où les bâtiments étaient trop endommagés pour être érigés de nouveau se dressent maintenant de petites plazzas bordées de murs polis sur lesquels sont gravés les noms des disparus retrouvés à proximité. Deux monuments retiennent cependant l'attention davantage que les autres. Sur la Place du Président, la statue de l'ancien dictateur fut jetée à terre et remplacée par une effigie de Robert Saint-Louis se dressant, bras en croix en signe d'interdiction et de protection, devant une foule, le visage exprimant aussi bien que l'artiste le pouvait la béatitude d'un Saint. Le second monument, un obélisque façonné d'un marbre pur créé par la sueur et le sang d'un groupe de surdoués, s'élève sur une hauteur de près de quinze étages à l'endroit où se tenait autrefois la Tour Présidentielle. Sur ses flancs lisses, ont peut y lire l'ensemble des noms répartis dans le reste de la ville ainsi que le nombre de Lavallois anonymes dont les corps ne furent pas réclamés ni identifiés. Chaque jour, des gens viennent déposer au pied de cette nouvelle tour menues offrandes pour les morts et le monolithe vibre presque perceptiblement des prières qu'il recueille au nom des disparus.

À la base de ce géant de pierre blanche, cachés par les couronnes de fleurs, les jouets pour enfant et les mémentos de famille, quelques noms ont été ajoutés à l'insu de tous:

٭ Ciselé sur le flanc nord dans une écriture féminine plus exquise qu'aucun mortel de l'ère actuel ne saurait atteindre, on peut lire Mathias Cortez, pour l'éternité.
٭ Gravé avec une précision chirurgicale en caractère d'imprimerie dans le flanc est on peut lire Hi-Jack surmontant un autre nom suivi d'une inscription, Mare-Ange. Puisses-tu avoir le courage de lui parler dans l'autre monde.
٭ Taillé grossièrement dans la face sud comme si on avait frappé plusieurs fois avec un objet pointu, des glyphes indéchiffrables parlent du rat qui a eu le courage de se battre sans ses frères.
٭ Inscrit discrètement au bas du versant ouest, une simple lettre, "P".

La nuit suivant l'érection du monument, on découvrit, perché tout en haut de celui-ci, une gargouille de pierre aux ailes déployés. Certains jurent avoir vu certaines nuit, roulant de ses yeux fixant l'île voisine de la Cité, des larmes de sang traversant un visage monstrueux qui inspirent la solitude autant que l'horreur, l'amertume autant que le dégout.



Éventuellement, la ville reprend un cours normal, l'économie et le capitalisme revinrent de concert, les loyalistes d'hier devinrent les rebelles d'aujourd'hui, et les mortels commencèrent à chercher la présence rassurante d'un berger qui guiderait leur troupeau pour leur éviter de trop penser par eux-mêmes. De ce terreau jaillira les histoires de demain.

Amen

Un homme de bonne carrure est placé sur un le toi d’un des édifice en hauteur de al ville. Il semble fatigué, exténué, mais heureux. Son long manteau brun, vestige d’une autre époque flotte dans le vent comme une paire d’aile majestueuse. À son collet, un macaron avec un petit bonhomme sourire taché de sang fait office de blason. Sa cravate, laide et dénoué se ballotte au gré à son cou. De sa plus belle voix (qui sonnait comme un heureux mélange d’animal hurleur et de casserole qui tombe dans un escalier), il entonne un chant que la ville de Montréal n’a plus entendu depuis des années.

-Chema, Montréall, Ado-nay Elo-henou, Ado-naï Ehad' Baroukh chem kevod malkhouto le'olam vaed
Veahavta ett Ado-naï Elo-hekha, bekhol levavekha,ou bekhol nafchekha,ou bekhol meodekha
Vehayou hadevarim ha'ele acher Anokhi metsavekha hayom al levavekha
Vechinantam levanekha, vedibarta bam, bechivtekha beveithekha ouv'lekhtekha baderekh, ou'bchokh'bekha ouv'koumekha Oukchartam le'ot al yadekha,
vehayou letotafot bein einekha Oukhtavtam al mezouzot beithekha ouvicharekha

Ensuite, il prit une des armes qu’il tenait à sa ceinture pour graver dans le béton qui servait de toi à ce bâtiment. D’une main assurée, il grava…

N'oubliez pas que cela fut,
Non, ne l'oubliez pas :
Gravez ces mots dans votre cœur.
Pensez-y chez vous, dans la rue,
En vous couchant, en vous levant ;
Répétez-les à vos enfants.
Ou que votre maison s'écroule,
(Primo Lévi, Si c’est un homme)

C’était le seul moyen qu’il avait trouvé pour se rappeler et pour rendre honneur à ceux qui était tombé au combat. Il ne les connaissait pas tous pas leur nom, leur nombre était trop grand. Mais en ces jours, malgré les différences…ils les voyaient comme des frères…des sœurs…sa famille.

Tout à coup, il fut surpris par un bruit. Derrière lui, une jeune fille, haute comme trois pommes, l’avait rejoint. Il sourit et alla la rejoindre. Dans son coup elle portait fièrement une plaque gravée, symbole des forces policières d’autrefois.

-Papa? Tu es blessé? Tu saignes des yeux…

-Oui c’est ça…dit l’homme en les essuyant les larmes de sang qui coulait. Si tu le dis à ta mère, je te prive de dessert pendant une semaine….

-ZEK-

...amen prise deux (premiere fois de ma vie que je suis discret..lol)

Du haut de son perchoir, tenant la jeune fille dans ses brasporte les yeux vers les rues dévastés du nouveau montréal; lorsque soudain, son attantion est attirée par le rugissement d'un moteur puissant poussé au maximum. Au visage de Zek s'affiche un sourire, puis pointant à la petite le véhicule rouge qui traverse à toute allure Montréal qui semble intriguée par le bruit, hoche la tête en sa direction et porte au vents les paroles suivantes...

"On se revoit bientôt Scorp; prend soin de toi et des autres où que vos pas vous mèneront..."

**************

Dévalant beaucoup trop vite les reste de ce qu'était la rue Papineau autrefois, une motocyclette rouge feu évite les débrits qui recouvrent la chaussée. Sur celle ci, deux silouettes; le conducteur habile, un homme en bonne condition physique et de noir vêtu bandana au vent, et sa passagère, une femme magnifique, sourire au lèble, tête accotée sur son prince, portant une robe violacée sur laquelle, battant au vent, un Scorpion noir se dessine lorsque la lumière le permet.

Enfin, le véhicule traverse les grande portes de montréal puis s'engage sur le pont quie les mènera à Néo-Laval... à leur liberté.

Les frins se bloquent, laissant le véhicule qui avait une vitesse de croisière beaucoup trop rapide dérapper sur une longue distance sur la terre battue relevant un nuage de poussière grisâtre; lorsque ce dernier s'immobilise et que la poussière redescend, la moto est droite, elle a effectuée une rotation de 180 degrés et le moteur de celle ci tourne toujours.

Débarquant du véhicule et marchant quelques pas vers son récent champ de bataille, l'homme s'immobilise et fixe les décombres de montréal.

Sandra - Qu'est ce que l'on attend?

Scorpion - On attend le reste du Cercle... J'imagine que tu n'y verras pas d'inconvénients...

Sandra - D'accord, mais c'est moi qui conduis après! (Suivi d'un clin d'oeil)

Un sourire au lèvre à la suite de la dernière remarque, Scorpion acquièce de la tête... puis murmure dans le vent sur un ton solonel comme si quelqu'un se tenait à côté de lui...

"... voilà vieux frère; tu avais raison depuis le début... j'ai trouvé ma place... La bataille à été menée, peu importe quel était le résultat... mais je suis heureux du résultat... J'ai terminé ce que tu avais commencé Maléard.

Désormais, nos clans pourront respecivement vivre; tout comme les humains...
Je te remercie; et encore une fois... c'est une histoire qui sera contée chez les tien comme chez les miens... Ton sacrifice n'aura pas été en vain Maléard, chef des 7 tribues...

ne t'inquiète pas pour moi, les esprits veillent sur moi; comme je veilles sur les miens et les tiens... repose en paix vieux frère..."

...

""En ce qui te concerne FlipSwitch... je n'oublierai pas ton sacrifice; et saches que ton clan ne l'oubleira pas non plus... Repose en paix avatar du grand rat "

Dans la pénombre de la nuit, des pas résonnent contre le béton des rues, une silhouette frêle y déambulant, solitaire. Les mains dans les poches, la tête baissée, les yeux rivés au sol, pas besoin de ragarder devant soi quand ce sont nos pas qui nous portent. L'allure n'est pas pressée, mais la cadence reste la même.

"Le travail a été fait, je peux maintenant partir en sachant que ces gens ont leur chance à présent." murmurait-elle.

La femme s'arrêta un moment, regardant le ciel. Son visage semblait neutre, mais la lueur des étoiles se reflétait sur le globe occulaire. Un filament rougeâtre y passa un moment pour n'insinuer qu'une légère ligne. Elle reprit son pas, son second arrêt se faisant devant l'obélisque des disparus devant le flanc sud. Elle sortit un glaive pour utiliser la pointe contre la roche, y posa la main un instant avant de s'évanouir dans nuit. Elle ne faisait que commencer pour elle.

Deux mots, d'une écriture féminine, s'étaient ajoutés sous les glyphes : un ami

Un écho de moteur se fit entendre de la Brujah. Elle leva les yeux au ciel et souria. Elle arriva près de Valean. Elle posa son regard sur la pierre funestre et y lit quelque nom. Ceux qui attira le plus son regard.. Flipswitch, Casey et ... Black. Elle déposa un bouquet de rose noir au pied de monument. Elle s'éloigna quelque peu.

Une larme de sang perla sur sa joue, mais gardait son sourire.

We told you, prez, that you would fall! Dit elle en murmurant.

Elle tourna les talons, embarqua dans une voiture qui était encore en bonne état. Elle eut peine a se retenir de pleurer. Le nom de Black et de Casey était inscrit sur la pierre. Jamais n'aurait-elle penser que c'est deux hommes feraient partis de la liste des défunts.

Tu viens Val? On a une famille a rattraper.

Dit elle en essuyant la larme qui avait laisser une fine ligne rougeatre sur la joue de la Kindred. Sa voix était empreint d'une tristesse inconcevable.

Elle regarda en haut du batiment, et fit un signe de salut, a l'homme et la jeune fille. Elle attendit que la jeune dame entre dans la voiture et attendit de voir si d'autre des membres du Zodiac serait pres, pour une nouvelle aventure...

Morgan était aussi sur un toit, non loin de l'endroit où se trouvait Cohen et sa fille. Cheveux au vent, elle regardait la Ville à ses pieds. Elle sourit. Plus bas, son fils était à la chasse, les jeunes devant se nourrir plus fréquemment, mais elle n’était pas inquiète, elle lui avait bien appris comment ne prendre que se dont il avait besoin et à ne pas tuer.

Son regard se porta vers Cohen, Elle allait l’interpeller lorsque qu’un bruit de moteur attira son attention. Elle scruta les environs et vit passer une moto en trombe. Elle eu un léger rire. Il allait lui manquer cet homme téméraire. Elle se tourna ensuite vers ce qui avait été le centre ville de Montréal à une autre époque et fixa le monolithe. Ils avaient parlés le lendemain de la grande bataille d’ériger un monument à cet endroit pour honorer la mémoire des disparus de cette guerre, elle n’avait pas cru que cela se ferait si rapidement.

La Ville à ses pieds grouillait de vie et se reconstruisait doucement. Morgan pouvait presque sentir les sentiments de joie et de liberté des citoyens. Il y avait des mécontents, il y en aurait toujours, mais en ces temps de changement de régime ils étaient plus dangereux car la Ville n’était pas prête à une autre guerre su tôt. Ils se devaient d’instaurer un gouvernement et rapidement. Ne serait-ce que pour donner une illusion de stabiliter. Le coopération dans la Ville était un bon début.

Les résistants devront s’assoire avec les anciens fonctionnaires qui ont changé de camps et avec les groupe de quartier et établir de nouvelles règles. Ces gens ne voudront pas de nous, comme toujours. Nous devront encore tout recommencer, faire notre place, puis retourner dans les ombres. La mascarade devra renaître et peut-être… peut-être pourrons-nous vivre ici en paix.

Elle laissa le vent emporter ses paroles puis porta son regard par-delà les remparts de la Ville. Elle craignait que les autres villes ne deviennent hostile et viennent venger le Président. Elle craignait aussi les Sabbat de Trois-Rivières. Montréal venait de devenir une proie tentante pour les autres Kindreds survivants.

Assis sur le bord d'un trotoire un jeune vampire chante tristement... Bientot il retournera dans ses slums et perdra a nouveau de vu ses amis. Il n'est pas le plus fort ou le plus brillant, mais il a toujours été la.

À l'ombre d'un lampadère, Maroc chante ... ce n'est qu'un au revoir

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...
Faut-il nous quitter sans espoir,
Sans espoir de retour,
Faut-il nous quitter sans espoir
De nous revoir un jour

Ce n'est qu'un au revoir, mes frères
Ce n'est qu'un au revoir
Oui, nous nous reverrons, mes frères,
Ce n'est qu'un au revoir

Formons de nos mains qui s'enlacent
Au déclin de ce jour,
Formons de nos mains qui s'enlacent
Une chaîne d'amour.

Ce n'est qu'un au revoir, mes frères
Ce n'est qu'un au revoir
Oui, nous nous reverrons, mes frères,
Ce n'est qu'un au revoir

Car l'idéal qui nous rassemble
Vivra dans l'avenir
Car l'idéal qui nous rassemble
Saura nous réunir.
...

Une silhouette blanche se présente devant un grand édifice du cartier blanc peu endommagé par les derniers événements. Au-dessus de sa tête, reste encore accroché le mot « Hôpital », mais à ses pieds, repose sur le sol en pièces, les mots « du président ». Le Docteur Kirklan entre et s’arrête à l’intérieur. Il prend une grande respiration, pour sentir cette odeur particulière, cette ambiance unique aux établissements de santé. Depuis 5 ans qu’il n’avait pu, calmement, prendre son temps, pour faire ce petit geste banal. Il rentrait enfin chez lui…

En touchant les murs, glissant les doigts sur comptoirs, il se sentait bien. Il espérait toutefois, à l’intérieur de lui-même qu’il n’y aurait pas trop de travaux de réparation à faire. Ne plus être pourchassé, traqué mais surtout, pourvoir pratiquer la médecine librement le faisait jubiler.

L’hôpital était déjà plein par tous les blessés de la libération. Le docteur, en passant dans les corridors, aida un infirmier à mettre un bandage, une infirmière qui ne trouvait pas la veine de son patient, et autres par-ci, par-là. Il montait tranquillement vers les derniers étages, en pratiquant ces petits gestes si gratifiants, si plaisant pour un médecin comme lui. Mais la partie la plus intéressante l’attendait toujours, les laboratoires. En ce lieu était sa place, à découvrir comment mieux aider la population. Il y avait appris à détruire les vampires, il y apprendrait dorénavant, à aider la population.

Kirklan s’arrêta sur le toit de l’édifice. Regardant la ville, il avait une soudaine pensé qui l’intéressa. L’hôpital Kirklan… Ce serait intéressant, mais Il n’était pas assez prétentieux pour soumettre ce nom aux autorités. Il garda pour lui ce rêve un peu fou. En regardant la ville, il songeait aux sacrifices qui ont été nécessaires à la libération de Montréal. Tous les gens qui y ont laissé la vie. Il se surprit même à avoir une pensé pour les vampires qui y sont resté. Lui qui les avait haïs toute sa vie, il avait enfin appris à les connaître et les apprécier. Il eut une pensé particulière pour Shalimar… Elle qui l’avait aidée dans ses travaux, la première vampire à avoir partagée une partie de sa vie, de son travail. Ses compétences lui manqueraient, mais aussi sa présence qui avait commencé à être une habitude.

En regardant la ville, il prit la parole, en parlant à lui-même :

-Vous ne serez pas mort en vain, citoyens de Montréal. Hi-Jack, je prends soin de Carmen… Mais ne t’habitue pas trop vite à erré dans le réseau, je vais bien finir par te retrouver. Ce n’est peut-être jamais arrivé, mais il y a une première à tout! Dit-il avec un sourire.

-Maître… Tu avais raison… J’ai appris à les apprécier pour les valeurs qu’ils ont, et non pas la réputation qui les précède. Peut-être réussirai-je un jour à accepter ce que tu m’as fait…

-Merci à vous, peuple de Montréal, d’avoir compris que cette libération était nécessaire. Mais ce n’est qu’une étape. Il faut maintenant nous reprendre en main.

Des pas se firent entendre dernière lui. Kirklan se tourna pour apercevoir une autre personne, habiller lui aussi en blanc immaculé. Il avait une mallette à la main.

Inconnu : Je viens te remettre tes travaux… Tu étais mieux de ne pas y rester! C’est beaucoup moins d’effort de te les redonner que de trouver quelqu’un d’autre! Dit-il en plaisant.

Kirklan : Merci… Mon ami, fidèle dans toutes les circonstances, une chance que je t’ai!

Les deux repartir les bras à l’entour des épaules. Leur complicité était parfaite, des amis depuis si longtemps. Il pensait à tout ce qu’ils avaient encore à faire, mais surtout, à ce nouveau départ, dans leur ville qu’ils aiment tant… Montréal… Libre!

"Non, vous restez dans votre lit, monsieur!"

De dire l'infirmier qui insiste maintenant physique à ce que Randy se lève. Randy abandonne et se recouche. Le jeune Scavenger se rend maintenant compte de son changement.

Il était qu'un simple électricien. Un électricien qui a vécu une vie de mensonge, à mentir à son père qu'il était gay, mentir à son équipe du Chantier #13 qu'il était un vampire, mentir à la ville entière qu'il était un vampire... Et aux Milrights.

Il était un intello, son père le traitait de "tite lumière", ce qui a peut-être envoyé Randy dans son choix de carrière. Puis Rick l'a choisis pour être son discipline, son complice. Il est devenu fort, plus fort que jamais. Il n'a jamais vraiment aimer se battre, autre que pour une bonne cause...

Mais tout le monde comptait sur lui...

Il a passé de l'inconnu à la Reine des Slums au Représentant Syndical au miraculeux. Il ne comprend toujours pas ce qui est arrivé, autre qu'il ressent encore l'amour de Rick toucher son coeur froid au moment ou il entend le dernier "clic" de la bombe et sentir la force de l'explosion le propulser contre le mur. En un moment, des images de ses créations devint presque réel... Le bourg de Mazda avec l'électricité au complet, la grue #122 avec les Milrights, plusieurs autres... Mais, c'était mineur.

Tout ce qui comptait pour Randy, c'était 2 choses: Que Rick, son tendre amour, soit fier de lui et de sauver les Milrights. Cette grande famille est exactement le style familiale que son père a essayer de lui donner, mais la mort de sa mère à cause du cancer n'a rien aidé. Jamais est-ce que Randy s'est sentis si bien parmis les humains.

Il y a plusieurs mois, Randy s'est rendu compte que jamais est-ce qu'il pourra avoir une famille, jamais voir le soleil vraiment, jamais ressentir l'humain en lui vraiment. Faut croire que Saint Louis avait raison, il y a un Dieu. Maintenant, il est sur un lit d'hopital dans une salle qui ne peut décrire quand son oeil gauche est trop enflé pour ouvrir et son droit est couvert pour s'assurer que la paupière guérit adéquatement.

Il respire. Il vit. Son rève d'avoir une famille est possible... Mais pas maintenant. Son amour pour Rick est toujours aussi grand, mais il voit plus clair, il voit les gens autour de lui pour ce que certains ceux vraiment: des monstres. Il comprend pourquoi Marie-Ange et Coyote n'aimait pas voir sa tête de forreuse à 5 centimètres de son visage.

"S'en est assez. Je vais retrouver tout le monde.", dit Randy en arrachant les bandages sur son oeil droit.
"Mais, monsieur, vous devez récupérer!", s'écrit un infirmier alerté par les réactions de ses multiples appareils médicals.

"Regarde, je l'aime pas, mais je connais quelqu'un qui va m'arranger. Ton rcc-8322, en passant, devrait être gardé à 2 pieds du pxxs-444 parce que le champ magnétique du heat sensor est assez puissant. Puis, fait dont attention quand tu déplug tes machines, 4 fois est-ce que j'aurais pu jurer que ton fil aurait lacher."

Randy se lève. Il ferme les yeux et imagine Scorpion, déjà sur sa moto avec Ibarof, Liz, McAdams, Rick, le Zodiac quoi. Il ne peut attendre des mois. Il ouvre les yeux et prend quelques pas en titubant. Après le 3ème pas, tout semble mieux, les blessures font de moins en moins mal. Il dit rapidement:

"Ok le Zodiac, attendez moi j'arrive!"

Et ses mots semblent presque physiques lorsqu'ils quittent la bouche à Randy. Le doux vent pris ses mots et les apporta jusqu'à Scorpion, du moins il l'espère.

[occ]: Marc si se que j'ai écris ne conviens pas tu peux éditer, bien sur prochain xp sur drive ....MARC : J'ai édite un peu pour comment ta embarquer la ducati. Et j ai ajouter Rick et Randy dans ton char.


Je dois récupéré mes documents avant que sa tombe entre de mauvaise main ...

Shale alla dormir dans le haven qu'elle avait depuis 6 ans. Malgré que les Milrights leur avais demander de quitter le quartier vert Shale les appréciaient beaucoup.
Elle mis tous ses documents dans un sac, ainsi que les vêtements et autre chose qu'il lui appartient. Elle fît un petit adieu à son chez soi.

J'espère jamais y revenir ...

Elle sortit de son haven et partit en direction du port où travaille les Milrights.

J'ai besoin des motorisés ... comme autrefois ... j'ai récupéré ma façon de me battre, je retrouverai comment les conduire

Elle parla à plusieurs des Milrights qu'elle connaissait mais elle veut faire affaire avec Henri qu'elle appréciait plus que tous. Les gars qui travaillais avec Henri et lui-même l'appelle princesse, elle n'a jamais su la raison mais elle les appréciaient énormément.
Rendu au lieu où Henri travaille avec ses hommes, Shalimar remarqua qu'il n'y avait vraiment pas beaucoup de gens ici, les entrepôts était vide, les machines sorti ... ils aident surement à reconstruire la ville.

Elle prit un papier vierge et sorti un crayon ...

Shalimar a écrit:

Merci les gars
je quitte la ville mais je me souviendrai éternellement de vous tous
je vous emprunte un Hummer et une ducati
(je vous rembourserai dans un mois)
Princesse

Elle savait où il rangeait les motorisés, voiture et moto ... Elle entra dans un hangar et plusieurs voitures, camions et motos y sont entreposer. Elle avait déjà vu un Hummer dans ce hangar et plusieurs moto varié, elle voulais ceux de son passé. Shale croisa une ducati vert foret et argenté légèrement différente au passer mais cela fera l'affaire. Elle l'avança au centre du hangar et continua à chercher un Hummer dans lequel elle pourrai y monter la moto ainsi que trois personnes minimum. Elle finit par trouver le Hummer vert foret qui pourrai y contenir la moto ainsi que deux personnes ...

merde ... juste deux places si la moto êtes à l'intérieur ... maudite conne il n'y a pas loi entre les villes ...

Elle pris les clefs pour les deux motorisés ... moins compliquer à ramasser que de trouver les motorisés. La moto bien que compact ne pouvait entrer comme elle l'avait imaginer. Elle prit alors un chainblock et hissa la moto sur le toi du hummer. Ensuite avec des courroie et des sangle elle la fixa solidement et sorti très doucement avec le Hummer et se dirigea vers l'obélisque.

je me sens un peu mal de leur prendre sans demander leur permission mais je dois aller le punir et aider le Zodiac dans les autres endroit en espérant d'aller à Trois-Rivière.

Elle ne conduisait pas vite, car elle voulais pas égratigner cet voiture ... Mais plus qu'elle conduisait plus elle se rappelait comment conduire et elle se rendit près de l'obélisque regarda les noms ... Cortez, Flip, P, Hi-Jack ... et bien d'autre qu'elle avait connu. Elle y rajouta un autre nom avec un mot en arabe
traduction en français

Shalimar a écrit:

tu nous a mal juge Farim mais je vais continuer ton travaille car maintenant je me souviens, les assamites redeviendrons comme avant Ur, sois en paix dans ton nouveau monde, S

elle rembarqua dans le Hummer et se dirigea vers le nord pour aller sur le pont et traverser vers les Slums en route elle croisa Rick qui aidait Randy a marcher... Cette tete de mule de Randy aura donc fausser compagnie a ses medecin...

Les gars, besoin d'une ride ? Faites vite Scorp et les autre son surement déjà au porte de la ville.

Scorpion attendait avec Sandra une autre voiture y était, avec Josy et Valean ...