Héros de guerre...

McAdams s'approche du duo. Il s'installe de l'autre côté du feu et regarde la lame de Marcus.

Salut Marcus, bonsoir Sandra.

C'est nouveau ce truc là? Me semble que dans le temps, t'en avais pas besoins. Armes naturelles seulement! D'ailleurs, tu m'avais pas donné ton couteau en argent, dans le bois, la première fois, contre l'armée de Luy?

Il prend un air un peu songeur et se frotte machinalement le haut du torse, se remémorant une blessure.

L'abomination en tout cas en avait un, un gros couteau.

Un frisson apparent parcour Sandra qui se blotit contre Marcus au simple son du nom de Luy; Marcus la serre dans ses bras puis dépose un baiser sur son front... puis relève les yeux vers McAdams.

En effet... quelle belle soirée... une soirée mémorable.

Une union unique dans l'histoire, deux races au sang bouillant de haines l'un envers l'autre s'alliant contre un ennemi commun. Une bataille qui est encore chantée et racontée de l'autre côté de ces murs.

Sous la pleine lune, une armée de sang mêlé a affronté une armée de chair. Les pertes ont étés énormes des deux côtés jusqu'à ce que l'on se rende enfin à notre cible. La naissance de l'élite...

*titubant un pied devant l'autre , Murphy aproche un peu trop gelé*

Hey !! Parlant de mon couteau en argent Corps ca te tentrais pas dme le donner ?Apres tout ca fait un maudit bon bout que tu l'as ! Pi qui sait ca peut etre fuckin utile.* replace ses cheveux sur le coté*Criss ca m'rpend du spray net faut que j'trouve ca ....

Biff s'approche du feu, hoche la tete vers Marcus et Sandra, donne la main a McAdams et s'assoie.

Je suis desole de l'avoir manquer, mais quelqun devais rester a la casa pour s'assurer que la ville ne faisais pas de coups chiens, quoi que en bout de ligne, y sont venus quand meme.

Un sourrir aparais sur les levres a Biff.

Au fait Marcus, comme McAdams dit, last time I checked, t'etais pas fort sur les armes... Quoi que je me souviens d'un certain tromblon...

Avec un gros sourrir epais planter sur ca figure, Biff envoie un clin d'oeil vers Marcus.

Marcus sourit en voyant les deux rigolos arriver; se demandant si d'autre arrivant continueraient à arriver...

Désolé Murphy... ton couteau à été mangé...
Mais tu peux t'assoir si tu veux...

Je me souviens de cette rencontre McAdams, comme si c'était hier...
C'état glacial comme champ de bataille. Notre premier à tous depuis notre réveil. Les troupes garou empêchaient les renforts de chair de rejoindre et de protèger la créature de treizes pieds qui se trouvait devant nous; un énorme Aroun lycan vampire...

Une vingtaine des nôtres avaient ouverts le chemin, affrontant des monstres défigurés horrifiants, quelques fois hauts comme des arbres et d'autres possèdant plus de dents que le plus vorace des requins.
Luy avait envoyé cette nuit là le plus gros de ses forces, tentant d'achever les forces garou.

Une bataille ou des grand tels que Maléard, chef des sept nations garou, François dirigeant du peuple des hommes Ours et Flip-Switch le rat garou Theurge avaient eux aussi décidés de perndre part, laissant l'animosité de leur races de côté.

L'abobination se trouvait devant une poignée de vampires, écumant de rages et de haine, les yeux injectés de sang; elle devait avoir déjà avoir transpercée une armée de ses anciens congénères car son glaive portait l'odeur du sang des siens.

Les corps tombaient des deux côtés, mais toujours les forces de chair se rajoutaient.

Ibarof fut le premier qui se rendit à la créature, les deux titans de forces collosales entreprirent une lute féroce, je me souviens de toi, McAdams...
Alors qu'elle se débarassait du docteur monstrueux en l'envoyant voler jusqu'à Elizabeth afin de les fare écraser au sol; dans un clignement d'oeil, tes poings traversaient les flancs du titan d'un côté, puis de l'autre... à une vitesse phénoménale, évitant les griffes acérées et la lame de la créature. Liz, au sol avec sur elle un des protecteur de l'abobination qui devait peser une tonne, qui labourait la chair pour enfin l'envoyer s'écraser sur une de ses congénère qui tentait de fuir.

Cela faisait au moin une dizaine de minute qu ela mèlée était entâmée, la forêt dasn laquelle nous nous trouvions était en feu disperçant les forces ennemies grâce à Bookie et Patch. L'élite était coupé de renforts et fortemetn endommagée. Liz tenait à peine sur ses jambes, McAdams et moi commencions à fatiguer aussi; le docteur tenait à lui seul les monstres assez fous pour tenter de traverser le mur de flammes en notre direction.

Dans un geste désespéré, Liz arracha la main de l'abobination faisant voler sa lame au sol. McAdams, ruisselant de sang en profita pour marteler de ses poings les genoux du monstre l'envoyant au sol. Titubant.
le monstre s'empalla sur sa propre lame, boureau des siens, mort par sa propre main...

L'élité était en sang, mais fier, c'était la première fois que leur sang se mêlait sur un champ de bataille. La première fois, mas iloin d'être la dernière...

Une silouette était à peine perceptibe derière le rideau de flammes, des yeux emplis de haine...
Luy avait vu sa fin cette nuit là...

[Marcus sourit légèrement à McAdams... puis attendit quelques instants avant de rajouter...]

C'est l'histoire qui est racontée chez le peuple lycan...
Seuls ceux qui y étaient pourrais mieux vous la raconter...
Mais comment faire mieux... N'est ce pas McAdams...

Te souviens tu...
Et ce n'était que notre premier combat!
Te souviens tu des autres...

Murphy étant assis aux cotés des vieux compagnons sourit* J'suis content finalement que vous ayez perdu ca ste couteau la . En fait jsuis content dla facon qu'il est disparu. *Pour une premiere fois depuis longtemp , Murphy démontre un sourire satsifait , il ne veut vraiement pas rire il est très sérieux* Les gars j'voulait pas vous abandonner labas quand j'suis partit mais disons que j'ai eu une chance qui se refuse pas , j'espere que vous m'en voulez pas....*baisse la tete et regarde au sol comme un enfant*

Regarde Murphy avec un sourire sans malice.

T'en fais pas Murphy, je blâme personne de ne pas être venu. Moi même, laisse moi te dire que je me sentais pas gros dans mes shorts devant cette affaire là.

Reprend son regard songeur.

Ouais, les autres batailles... Je me souviens de l'asile. J'oublierai jamais les fantômes dans enfants qui avait là... La haine, la colère dans leur yeux. Mais après ce que Luy leur avait fait, je peux pas les blâmer.

Je me souviens de la promesse qu'on s'était fait, qu'on leur avait fait. D'aller chercher ce salaud là, peu importe le coût.

Et de la deuxième fois où j'y suis aller avec la gang. Quand il a fallut sortir le frère Antoine de là. Ou plutôt son esprit. Quand les enfants étaient devenus tellement absorbés dans leur haine, ils avaient virés complètement mauvais...

Quand on est descendu dans le sous-sol, vers la chambre à fournaise. On a senti quelque chose de mauvais dans l'air. Je peux pas dire que j'avais jamais senti le mal avant ce moment là, mais c'est ça qu'on ressentait.

Et là Élizabeth a défoncé la porte et on a vu le corridor, complètement enflammé, et les enfants, des ombres noires qui torturaient le frère Antoine. Je dois dire, c'était impressionnant de te voir Marcus, te garocher là dedans, sans hésiter, pour essayer de le sortir de là. Et Élizabeth de te suivre elle aussi.

Sauf que elle, la peur rouge l'a pognée. Ça aurait été drôle normalement, moi a essayer de la retenir, elle complètement partie. Sauf que dans un corridor en flamme avec les spectres sur les talons...

Mais elle est revenu à elle. Juste à temps pour te voir tomber. Les chaînes du frère Antoine devait avoir une genre de malédiction, parce que quand on c'est rendu là et qu'on a essayé de les enlever, ça brûlait comme le feu.

Je me souviens de la scène, c'est brûlé dans ma mémoire. Toi à terre, Ibarov qui retenait les spectres à grand coup de griffe, Liz et moi qui essayaient d'enlever les chaînes. Pour un moment, devant les flammes et la marée d'ombres noires, je pensais qu'on allait rester là.

Sauf que comme d'habitude, on a fini par passer au travers. On est ressorti, vitesse grand V, avec Antoine. Liz et Ibarov à moitié possédés par les spectres...

Et ça, c'était juste le début! Il nous restait à aller chercher Luy. Mais il nous arrivé d'autres trucs avant.

Sort de sa rêverie.

On a toujours pas de cornes pour mettre sur le Dune Buggy, finalement?

Des cornes, Ha! J'aurais aimer voir ca... Moi je voulais ajouter des balistes sur mon Winnebago. Une chaque coter. Et avec des switchs et un peu de pression d'air POOF! Un missle de bois ou de metals de 6 pieds de long progeter a haut velociter. Ha Ha!

Ah.... mais une certaine expedition pour recuperer un certain president, a amener mon Winnebago a connaitre de tres pres un missle des forces de la ville. je crois meme que Judas lui a baiser le front.

Biff offre un grand sourrir et un clin d'oeil aux autres present.

Mais la, je commence ma nouvelle business, je me retrouve plus souvent dans des vehicules , ahem, emprunter, que les miens.

Biff leve la tete et regarde le ciel.

Parcontre je me souviens quand je suis arriver a neo-laval, j'ai foncer la tete baisser avec un esprit de vengence, dans une aventure des plus surnaturels. La journee meme ou je suis arriver, on ma tatouer dans le dos un message a grand coups de griffes. Par la suite, et dans la meme soiree, des etres des "ombres" ou je ne sais toujours pas, m'ont fait porter un deuxieme message. Celui ci nous conduisi dans une forest des plus sordides. Cetait la premiere fois que je rencontrais autre chose que des vampires. Zombies, chimeres et fantomes... Ca cest bizarre...

Biff baise la tete et fixe Marcus dun regard serieux.

Mais la cest serieux, les resistant nous offre bien un support, mais au nombre quon es, cest pas assez. On a attirer beaucoup dattention avec les explosions et tout. Et pas assez de ressistant sont convaincu quon est la solution.

Je sais que test pas Scorp, mais faut prendre des decisions, faut que les vamps de la villes sunissent sur des reglements. Je veux pas que cette ville sois detruite apres quon lai liberer parce que certains dentre nous sont trop cons.

Marcus regarde Bif droit dans les yeux à cette remarque.
Biff....
Sais tu ce qu'es Scorpion dasn cette ville?
Scorpion est un vampire pour eux, non pas un héros de guerre...
La raison, je vasi simplement te répondre pourquoi ils en ont peur.

Scorpion est la seule créature qu'ils n'ont pas réussir à détruire.
Scorpion, ce n'est aps que moi... c'est toi, McAdams, Liz.... même Murphy qui tient tête à la ville...

Je suis et serai toujours Scorpion...
Tant et aussi longtemps que j'aurai une cause pour laquelle me battre...

Son visage est serein, ses yeux se lèvent vers le ciel... un léger soupir, puis retourne et replonger ses yeux dans le feu...

McAdam... ou Biff....
Pourriez vous me raconter le sauvetage de Maroc; je n'ai pas eu la chance d'écouter cette histoire... et les exploits de chacun sont importants, je crois que Josy a eu un gros rôle dans cette histoire, n'est ce pas...

[i]Ibarof, ayant entendu les histoire de guerre de ses compagnons sortit de l'ombre et vint se joindre à eux. Cependant il ne pu s'empecher de penser au heures qu'il avait passé à faire la même chose lorsqu'il faisait partie d'une autre armé lorsque son coeur battait encore... Le sentiment de camaraderie lui revenait et un grand sourrire s'afficha sur son visage et le même sentiment d'anticipation s'empara de lui que lors de ses moments là. Une nouvelle guerre contre les enemis du peuple commençait.

Ah, la rescousse de Maroc. Ouais, je pourrais bien raconter ça. Biff, tu me corrigeras si j'oublie de quoi...

C'est bizarre hein? Maroc, quand tu le rencontre, il te tape sur les nerfs. Y'a l'air d'un demeuré. Mais y'a quelque chose chez lui. Un genre d'optimisme contagieux. Je sais pas, comme si malgré tout ce qu'il a vue, il était pas devenu cynique et amère comme nous...

Anyways, quand la ville est venu le kidnapper, c'est venu me chercher, ça m'a mis en colère. Ils auraient pu tuer la famille Cortez au complet, j'en aurais eu rien à foutre, mais Maroc, nope, pas question de laisser passer ça.

Ça nous a pris du temps à trouver où ils l'avaient amené. Et comme c'était pas dans la ville, c'était assez clair que c'était un piège. Ils s'étaient retranché dans une ancienne banque, dans le no man's land près de la rivière, à porté de tir des canons de la ville.

Comme notre tactique habituelle de foncer dans le tas n'allait pas marcher, y'a fallu qu'on fasse un peu plus subtil.

Morgan et Judas ce sont occupé de la diversion, à l'extérieur, avec les membres de la police des slums. Ils ont rassemblé une foule de slummers. Leur job à tous ce monde là, c'était de faire diversion. Ils ont attaqué le building, en balançant des cocktails molotovs pour y mettre de feu.

Ça a très bien marché, y'a une partie des agents de la ville qui sont sorti. Ils se sont fait canarder. Y'a eu plusieurs morts... Du bon monde. Plusieurs de mes policiers, des slummers.

McAdams semble se perdre un instant dans ses souvenirs, puis se reprend.

Pendant ce temps-là, dans un tunnel que les Underworlders nous avaient creusé, Y'avait Biff, Josy et moi qui attendaient. Tar et Rashka nous avaient guidé jusque là. Une fois que la diversion a été ben enclenché et que le feu a pris au bâtiment, c'était le temps pour nous d'entrer.

Yep, on est entré de plein gré dans un building en feu, plein d'agents de la mort. Je penses que ça nous valait un A pour le courage, mais probablement un F au niveau cerveau.

Biff à défoncé le plancher de la place et j'ai été le premier en haut. Juste à temps pour me pogner un coup de soleil. La gang avait installé un générateur UV dans la pièce, en prévision de notre petite visite. Faque j'ai balancé mes grenades fumigènes pis je me suis garoché sur l'équipement de bronzage. Et les deux gars qui restaient en dedans se sont retourné vers moi.

Vous savez ce que ça fait, les guns de la ville. Je me suis dis que ça allait pas mal finir là, mais Josy c'est pitché devant les tirs. Elle a mangé deux balles pour moi. Elle m'a sauvé le bacon se soir là, définitivement.

Faque j'ai fini de défoncer la lumière UV, je l'ai arraché et je l'ai balancé sur un des deux gars. et je me suis lancé sur lui après. Biff est sorti du tunnel pour nous aider. C'est devenu assez confus, avec la fumée, les flamme, les balles qui revolaient... Pis là, c'est devenu weird...

J'étais à terre sur un des gars, à lui défoncer la figure, et l'autre retourne son gun sur moi, J'évite le coup de justesse et là, y'a une porte en acier trempée, ça devait peser une tonne et demie au moins, qui transforme l'autre gars en pâte rose bien mastiquée sur le mur.

Je me retourne, pis c'est Josy qui a arraché une partie de la porte du coffre-fort et qui l'a lancé sur le gars. Pas trop le temps de poser des question par contre, parce que c'est rendu évident que Maroc est dans le coffre. Biff et moi, on essaye d'arracher ce qui reste de la porte. Rien à faire, ça bouge pas d'un poil. Sauf que Josy s'enligne avec son petit 5 pied 1, 110 livres ben mouillées, pis elle arrache le restant du coffre, comme si de rien était, le balance sur la porte d'entrée du building, juste comme les agents qui étaient sortis viennent pour rentrer.

Je suis un peu sous le choc, mais tu questionnes pas les choses quand la bataille va de ton bord. Maroc est là, mais les fuckers de la ville ont mis des explosifs autour. Pas moyen de se rendre sans les faire péter.

Heureusement, y'a un Underworlder qui se pointe la tête en dehors du trou, pour voir ce qui se passe. On lui explique la situation et comme si de rien n'était, le gars rentre dans l'ombre du mur, ressort à côté de Maroc, le ramasse et revient à travers le fucking mur. Ça non plus, jamais vu ça...

Sauf que bon, mission accomplie, right? On se garoche dans le trou et on décampe. Juste à temps faut croire, y'a un hélicoptère de la ville qui a balancé un missile sur le building deux secondes plus tard.

Ceux dehors sont resté un peu trop longtemps pour nous couvrir. L'hélicoptère les a pris en chasse, eux dans le winnebago de Biff. Ils se sont mangé un missile aussi, mais Judas a réussi à protéger Morgan. Ils en sont sorti sain et sauf. Juste un peu bien cuit.

Toute une soirée celle là... J'avoue que j'ai eu la chienne.

McAdams regarde le feu, l'air un peu impressionné d'être encore là.

C'était fucked up. Autant que quand on c'est battu contre le brouillard. Contre Benedict... Ça aussi, ça m'a donné la chienne. Pas pour moi, mais Liz et toi, vous êtes passé proche...

Biff sourris et aquiece lhistoire de McAdams en hochant de la tete.

Ca cetait une belle journee pour mourrir.

Biff detonne dun rire gras et profond en se tappant la cuisse.

HAHAHA! Cette petite en a dans lventre. Surtout que dans ce temps la elle commencait a comprendre le pouvoir de Cain. C'est peu de temps apres que je me suis ralier a Cain moi aussi. Maintenant je sais que ce netait pas le Cain de nos origines, mais bien un esprit. Il ma permis de connaitre une force extraordinaire, que je vais connaitre bientot je crois.

Mais, le soir de la mort de Luy, ou on sest fait prendre par le faux flipswitch, moi Josy et... euh... ah merde, je me souviens plus de son nom, mais je vais lapeler l'assamite.... donc, moi, josy et l'assamite se sont retrouver dans le monde des esprit avec Cain et une grosse bestionne que lon peu attribuer a etre lesprit de la maladie. Le combat a ete long et feroce, jen ai perdu mon arme des fees... Jai meme perdu un peu de mon ame ce soir la. Mais depuis, je me suis refait une beaute.

Biff envoie un petit clin d'oeil a Sandra.

Par la suite nous sommes retourner a la casa, vous avez fait les equipes pour aller attacker Luy, moi et quelques autres avons attendu a la casa... Et comme on dit, the rest is history.

Bonsoir Josy...
Tu as raté une belle histoire racontée par McAdams.

Marcus regarde chacun des siens qui est assis autour du feu puis reprend.

Bon, j'imagine que c'est à mon tour...
Dommage que Liz ne soit pas présente, la prochaine histoire parle d'elle aussi comme tu l'as mentionné McAdams...

Laissez moi quelques instants pour que je me rafraichisse la mémoire sur le dernier souffle de Benedicte...

Bonsoir Marcus

Elle regarda McAdams puis lui sourit.

Ta raconté quoi?

En disant cette phrase, un petit reniflement ce fait entendre. Elle essuie le mascara couler, et repris son crayon noir pour refaire son contours d'yeux. Mais elle sembla tout de meme de bonne humeur.

Regarde Josy et semble décontenancé par les larmes un moment. Il se reprend.

Euh, la mission pour aller chercher Maroc qui était prisonnier des agents de la ville.

J'ai raconté tes prouesses. Et comment tu m'as sauvé la vie ce soir là.

Il lui fait un sourire empreint de gratitude.

*OUT GAME...Ok les enfants, c'est sentimental à fond, mais j'adore ça. alors continuez et beurrez !*

Wow , stun beau bling ca Marcus!

Biff regarde le medaillon un instant, mais tourne ca tete vers Josy.

Tu sais beauté, un jour va falloir que tu nous explique ce qui se passe. Je ne connais pas grand kine qui pleurent des larmes d'eau aussi souvent que toi. Meme que cest tres rare de pleurer, je suis le seul que je connais qui est capable de pleurer de l'eau sans forcer, habituellement, c'est du sang qui coule.

Biff retourne son attention vers le medaillon, le prend dans sa main et l'observe de pres.

Je me demande si Flip est toujours vivant?

Biff fouille dan sa poche et sort une bar nutritive, en arrache un morceau et l'envoie au rat, et se met a manger e reste. Il tend le medaillon a Marcus.

Je crois que tu devrais le garder. Si je ne me doute, tu etais peut-etre le plus proche de lui d'entre nous.

Marcus ne semble pas avoir remarqué le rat, ni même le changement de sujets de ses compagnons, il est toujours concentré à la recherche de ses souvenirs...

J'espère que vous ne m'en voudrez pas trop si quelques détails échappent à ma mémoire, mais je vasi faire de mon mieux pour vous conter mon histoire...

C'était par une nuit orageuse, la terre elle même ainsi que le ciel savaient qu'une page serait tournée cette nuit là. La terre était assoifée masi ce n'était pas la pluie qui appaiserait sa soif, mais bel et bien la vie d'une créature de la nuit.

Un homme anciennement connu sous le nom de benedicte avait confronté l'ordre de ce regroupement, le déclarant en un duel à mort. Ce même Benedicte qui nous aurait supposément réveillé jadis, nous le fruit de ses labeurs en qui il avait placé tant d'espoir; étions désormais, à travers notre changement, la cause de sa rage destructrice.

Notre ordre se tenait imobile, loin de la civilisation, il avait choisi le terrain. Sa rage avait réussir à corompre toute vie animal des alentours, et lorsque le combat s'entâme, ce ne fût pas seulement à lui que nous eûmes à faire. Les soiseaux de la nuit et les hurlements furent la première vague à laquelle nous avons eu à faire; cette vague divisa nos forces en plusieurs regroupements; masi le pire restait à venir.

À un moment, le silence lui même semblait avoir gagné les alliés du Lord Benedicte. Un silence pesant planait sur nos têtes, Benedicte n'était toujours pas présent et ous étaient aux Aguets. C'est lorsque j'ai enfin remarqué les yeux appeurés de Shalimar que je compris qu'il était déjà trop tard; une silouette massive faisant au moin 12 pieds de haut était apparu à travers le nuage de brouillard qui avait commencé à couvrir le sol lors de notre arrivée. Un ours gigantesque s'abatit de tout son poid sur moi, ma lacérant le dos de ses griffes acérées.

Plaqué au sol, je n'eu que le temps de voir les mains à peine délicates de la belle Élizabeth Lacroix qui empoignaient le monstre benedicte par le dos pour l'envoyer revoler quelques mètres plu sloin dans sa cohorte de loups enragés. Un combat sanglant s'engagea dès lors.

Ses griffes labouraient nos rangs comme si nous n'avions étés pour lui qu'un champ de blé au temps des moissons. Cortez, Mathias de son nom, et les autres retenaient les animaux du mieux qu'ils pouvaient, pendant que nous faisons face à notre ancien compère au mieux de nos capacités.

Le combat sembla durer une éternité, le sol si une autre lumière que celle de la foudre nous avait éclairé, nous serait paru d'un rouge bouillant... le sang, le nôtre et le sien était désormais nôtre vêtement à tous cette nuit là.

La fin de son règne vint enfin, la bête s'écroula pesament sur le sol boueux. Sa vie s'acheva lorsque, à l'aide de l'une de ses propres côtes, l'un des nôtres transperça son coeur aussifacilement qu'à travers une feuille de papier. Un éclair frappa, laissant percevoir la masse titanesque qu'avait été benedicte, transpercée et gisant au sol... rejoignant le brouillard et disparaissant de notre existance dans un grondemetn du ciel.

La pluie s'estompa peu à peu, nous laissant agenouillés au sol et gravement blessés devant une scène qui ne nous serait jamasi passée par l'esprit à notre second éveil, une scène à jamais gravée dasn nos mémoires...

Marcus posa enfin les yeux sur le pendantif qui était apparu sur sa lame, sans comprendre ce qu'il faisait là. Un hochement de tête s'en fit suivre, puis ses yeux se posèrent sur les runes qui arboraient la lame sur laquelle dansait le refelt du feu.

Maintenant que plusieurs sont avec moi, j'aimerais vous raconter une dernière histoire pour ce soir. Celle d'une légende chez les garou... un homme qui n'espérait pas d'une bataille seulement la victoire, mais bel et bien que cette bataille résonne dans l'éternité. Un homme qui même à sa mort, remporta une bataille... une guerre, devrais-je dire, une guerre qui avait été sa vie...

Marcus ramassa ses idées quelqeus instants, sans détacher ses yeux de la lame plantée à ses pieds.

Il y a peu de temps, à quelques lieux d'ici une force et un courage ont été démontrés aux ancêtres des lycans... à ceux qu'ils appellent totem; un combat pour nous faire comprendre à moi ainsi qu'à tous ceux qui entendront cette histoire, que nous ne somme pas importants personnellement mais que la raison pour laquelle nous nous batons l'est d'autant plus; cette raison qui est celle que nous lèguerons à chacun de nos proches lorsque notre dernière nuit sera venue...

Marcus prend un court instant avant de recommencer à conter son histoire; il pose un regard sur chacune des personnes autour du feu pour enfin reprendre.

Nous étions deux lors de cet affrontement, lui et moi face à un cauchemar.
Il était là lui, un homme meurtri par le temps et les diverses épreuves que sa vie avait décidé de lui faire voir st subir. Il était debout, fier et droit comme les anciens héros, comme les vrai héros.

Cela pris quelques instant à l'ennemi pour comprendre qui il était; les canons se barquèrent sur lui sans que ce dernier ne bronche. Le bran le bas de combat avait été sonné sur les ramparts de cette gigantesque forteresse pour un seul homme... non, ils l'avaient pourtant sous-estimé.

Avant que le premier coup de feu se fasse entendre et que la peur elle même se dessine sur le visage de notre adversaire; une créature il y a quelques secondes pourtant humaine, avait laissé place à une toute autre chose, un animal devant peser au moin 1 tonne et mesurant un peu plus de 3 mètres recouverte d'un épais poil brun flottant au vent. Une créature portant de nombreuses cicatrices, cicatrices qui montraient à son opposant qui il était et ce dont il était capable de faire.

Les hommes s'affolaient au haut du mur; un lycan avait décidé de défier la ville. Un coup de canon se fit entendre, puis un autre. les armes automatiques faisaient déja entendre leur chant de mort sur ce champ de bataille épique. Aucune balle ne porta pourtant. La créature grimpait déjà leur mur, rendant inutilisable leur artillerie.

Les hommes avaient compris... ils avaient compris ce que ce lycan faisait là: il avait un message à passer à la ville, et pour ces humains, cela signifiait que peu importe ce qu'ils pourraient tenter de faire, rien n'arrêterait ce titan. Une melee s'engagea au haut de ces remparts, dos à dos nous combations avec la rage qui anime chacune de nos races contre un monde qui ne voulait pas nous laisser notre place.

Une tourelle, puis une autre; des hommes armés se jetaient sur lui; comme un enfant devant une fourmilière il balayait les pauvres créatures qui se dressaient sur son chemin. Des véhicules approchaine les murs de l'extérieur de la ville. Je perdis de vu mon frère de guerre un instant pour le voir apparaître sur un véhicule de transport au sol; d'un bon il en avait déformé la cuirasse, imobilisant le vehicule rendu inutilisable. Il s'en prit au second véhicule qu'il renversa sur le côté; d'un coup de griffes, il éventra la carcasse de métal lui permettant d'en achever les occupants qui tentaient désespérément de fuir.

Je tentasi tant bien que mal d'empêcher les hommes de se regrouper sur les remparts, mais l'alarme ayant été sonnée, je ne puis me rendre à temps à l'endroit ou s'étaient regroupés 5 hommes armés de lance-roquettes.

Au sol, quelques agents de la mort s'étaient joints tentant de maîtriser la bête. une centaien de cadabres gisaient au sol et d'autres n'allaient pas tarder à les rejoindre. Les trois agents de la mort élites semblaient ne mêm pas me remarquer, leur attention allaient au monstre.

J'entendis alors l'ordre de feu tandisqe je me dirigais vers les tireurs: trop tard. Des snipers... les rockets partaient elle aussi en direction de la créature... un flash de lumière, de la fumée... un hurlement si puissant que ce dernier enterra les cris d'agonie des deux humains que je réduisait au silence pour l'éternité...

Lorsque je me retournai, je vis un spectacle auquel je n'étais pas prêt.
Un cercle concentrique de mort... les agents de la mort au sol... mais aucun cadavre de la dite créaure. Au loin, un hurlement se fit entendre...
Un hurlement qui laissait entendre un message clair...

"Ce n'était que le commencement... ton règne monstre de métal, s'achève..."

Maléard, chef de son clan, chef des sept nations s'était présenté à la ville en personne pour que celle-ci sache qui il était et ce qui l'attendait, prophète de sa chute, homme de courage et de force. Son geste guidera les siens dans la prochaine bataille pour sauver leur monde.

Hawks pris dans sa main la lame puis ferma les yeux... Il serra fort contre lui Sandra, puis rangeant la lame dans son étui, replongea son regard dans les flammes.

Les yeux brillants a la lueur des flammes, elle écoutait Marcus avec beaucoup d'attention. Elle savourait chaque parole de son histoire.
Elle plongea son regard dans le feu.

Wow...