Pour s’amuser…

Voici un petit jeu pour nous faire passer le temp. Il s’agit d’une histoire à continuer. Le principe est simple, mais il y à toutefois quelque règle…
----------------------------------------------------------------------------------------------------------
Règlement
1-Vous devez continuer l’histoire commencer.
2- Vous ne pouvez pas tuer un personnage que vous n’avez pas crée.
3-Vous pouvez seulement ajouter une suite par jours.
4-Vous ne pouvez pas complètement modifier le cours de l’histoire pour en commencer une nouvelle.
5-Vous devez écrire un minimum de 10 lignes
----------------------------------------------------------------------------------------------------------

Nous allons voir de quoi ça va avoir l’air d’ici quelque temps…

Je commence



Il fessait presque nuit. La lune était déjà dans le ciel, un œil au milieu des étoiles. Une nuit parfaite s’annonçait et c’était la raison de ma sortie. J’avais décidé de marcher, une longe marche paisible pour m’aérer l’esprit. J’en avais besoin. Arès quelque temps, mes pas m’ont conduit dans un petit café près d’une église. Une table vide, un clin d’œil de la serveuse et une bonne tasse da café semblait être ce qui était le mieux pour moi. Intérieurement, je ne pu m’empêcher de sourire en regardant le tableau qui était placé sur le mur devant moi. Il n’était pas très beau, une simple petite image de campagne, mais sa simplicité m’accueillit. Moi, un être si complexe…comment pouvais-je trouvé repos dans une toile aussi morne?

Ce n’était pas la première fois que mes pensé se perdait dans un tableau, déjà dans ma jeunesse je m’était surpris à aimer des peinture de a grand-mère. Elle ne faisait que reproduire des œuvres connus, mais sa vivacité, malgré son âge, rendait ses copies plus forte, plus intime. C’est probablement le moment où je me suis mit à aimer la peinture…sa mort m’avais marqué au plus haut point.

C’est alors que j’ai décidé de sortit le colis que mon collègue anglais m’avais envoyer. Il était arrivé plus tôt dans la semaine, mais, pour une raison que j’ignore encore, j’avais hésité à le déballer. Enveloppé dans un papier brun et décoré de nombreux timbre au couleur de la reine, il me regardait…lâchement couché sur la nappe transparente de plastique.


(à suivre)

(chouette j'embarque....et oui...je ne suis pas vraiment un brujah sur l'accord honorable dans ma vraie vie)

J'ai entrepris ,sans grande conviction, de défaire les noeuds des cordages, qui servaient de première barrière. Je ne voulais pas les trancher...de toute facon, ils cédaient quand même sans vraie résistance. Pour le papier...je restai méthodique, sous l'oeil amusé de la serveuse anonyme et sans âge qui me servais le réchaud. Après avoir enlevé le papier, plié le papier je me suis trouvé devant une simple boîte en carton. Elle abritait un mystère dont la seule fonction du moment étaient de casser mon ennui. J'ai ouvert la boite, lassé de la méthode j'ai abimé un coin mais j'en avais honnêtement rien a faire

L'intérieur de la boîte étais plein de paille de papier, une vieille chemise pour tenir les feuilles, en cuir élimé...Des coins de papier raccornis, jaunis. Je ne pouvais m'empêcher de penser que ces feuilles devaient être amères de leur sort...alors pour leur redonner leur fonction d'origine (il est de notoriété publique que les feuilles qui ont été recouvertes d'écriture servent à être lues) Une chose me frappa au visage, l'homme qui avais écrit ces lignes signait le même nom que moi...mais en 1832, si la date était vraie...

14 octobre 1832

J'ai réussi à me rendre sans embuches jusqu'à ma garconnière, je ne crois pas qu'ils connaissent l'adresse. J'ai dû laissé une note brève à ma douce, j'espère qu'elle va comprendre... Depuis une semaine maintenant qu'ils me poursuivent. J'avais pourtant cru me débarasser d'eux...

La page devint illisible, je fouillais ardemment les autres pour trouver des indices qui m'en diraient plus sur cet homme qui portait mon nom. Mais tout était flou, il écrivait ces pensées, mais sans jamais vraiment mettre de chair au tour de l'os. De plus, dans les passages où il semblait y avoir plus de détails, l'encre était effacée, comme si on avait pris une encre différente qui n'aurait pas résisté au passage du temps.

J'étais soudainement intriqué, moi qui, jamais rien ne surprend. Je devais contacter au plus tôt Thomas pour savoir comment ces documents étaient arrivés entre ses mains. J'allais sortir de la monnaie pour le téléphone lorsque je remarquai un homme qui semblait attiré par ma lecture. Il se leva et se dirigea vers moi...

Plus je le voyais s'approcher de moi, plus je sentais la nervosité monter en moi... "c'est ridicule, me dis-je, et je me suis mis à sourire.

"Hey Nicole, ma chérie!" Je me suis retourné et ce n'était pas vers moi qu'il se dirigeait mais bien vers une jolie brunette habillée d'un long manteau blanc et de grandes lunettes brunes... on aurait dit Audrey Hepburn dans sa douce jeunesse.

J'ai ri intérieurement de m'être énervé de la sorte et j'ai remballé la lettre avant de terminer mon café d'un seul trait. La ligne était occupée chez Thomas alors je décidai de me rendre directement chez lui. Après tout, il habitait tout prêt d'ici, au coin de Côte-Sainte-Catherine et de Decelles... Il a de l'argent que Papa lui donne tous les mois... sale gosse de riche, comment on peut étudier et se payer un apart à 900 balles par mois à Outremont, non chauffé... J'adore Thomas mais il n'est pas "groundé" à la réalité. Pour lui, le travail ce n'est pas envisageable, il veut simplement étudier toute sa vie et se faire entretenir.

Pendant que je déblatérais toutes ces conneries dans ma tête, une voiture m'a presque fauché en traverçant la rue. J'étais dans la lune, effectivement, difficile de la manquer celle-là, elle brille de tous ses feux.

J'arrive chez Thomas, j'ai les bottes trempées par la "slush". La porte de sécurité du vestibule est ouverte. C'est vrai, il m'avait dit qu'elle était défectueuse et qu'un junkie était allé dormir sur une pile de dépliants publicitaires dans l'entrée la semaine précédente.

Je décide donc de monter. Le cinquième c'est trop haut pour ce soir, allez, l'ascenseur. C'est un vieil ascenceur avec un portier aux gants blancs. Le tout fait contraste avec mon habillement plutôt rustre. C'est un vieil immeubre de riches, qu'ils aillent se faire foutre, je vais en profiter de leur portier.

Au bruit d'un "ding", j'atteinds mon étage. Je débarque et me rend vers la suite 501 à l'autre bout du corridor. Pourquoi le premier apartement de l'étage se trouve-t-il à l'autre bout... ahhh, probablement construit par des anglais...

Il y a de la musique chez Thomas, un chanteur pour prétentieux du coin qui n'a pas de voix mais qui est à la mode parce qu'il est gai et plein de couleurs... c'est quoi son nom déjà? Rufus Weinwrithe ou quelque chose comme ça.

La porte est entre ouverte et un léger courant d'air frisquet me fait dresser les poils sur les bras. Tout est noir et en désordre... comme à l'habitude.

"Thomas!?"

Pas de réponse

"Allez, répond vieille chose!"

J'avance vers la porte patio pour aller la fermer et je butte sur une masse compacte devant mes pieds... Je me retourne prestemment pour voir sur quoi j'ai perdu pied et...

mon cœur se mit à battre la chamade. En me retournant je vie Sacha que gisait là,sur le sol,devant moi, de tout son long. Mon coup lavait réveillé,’’ on pauvre petite ‘’, di-je sarcastiquement. Après tous si elle ne voulait pas ce faire percuter elle n’avait qu’à ne pas se coucher au beau milieu du salon. Je déteste ce foutu chat. Il réussi a me regarder avec le même air prétentieux que Thomas. Sale chat gâté. Tel maitre tel chat.

En parlent de Thomas, ou a-t-il bien pu ce cacher? Finalement je réussi à fermer la porte et j’ouvris la lumière. Le désordre régnait dans la pièce. Un petit détaille attira mon attention. Sur le coin du divan de velours rouge de style victorien ce trouvait une petite culote de dentelle blanche appartenant définitivement a une demoiselle du moi j’espère. Au même moment entendit un bruit venir de la chambre. Quelqu’un semblais ce diriger au salon alors je pris un siège et attendit curieusement. Ce n’était certainement pas la démarche de Thomas, beaucoup trop velouté et légère.

Super jusqu'a maintenant...continuez!!!


Les pas se rapprochaient, et moi dans une envie de surprise pris un petit air mesquin. Mon regard river sur la porte de la chambre, un sourire aux lèvres j’attendais. Feutré, gracieuse et sensuelle, la démarche était presque envoûtante. Je me surpris à aimer, la journée avait déjà fournit son lots de surprise.

Une jeune femme entra dans le salon où je me trouvais. Le sofa sur lequel j’avais pris place me cachait presque entièrement. Seul mon inpeignable chevelure chaotique pourrais trahir ma présence. Son parfum envahit la pièce, apparemment elle avait du goût. Je décidait de rangé sa divine odeur dans un recoin de mon cerveau, à la même place que les détaille de son sous-vêtement blanc.

Elle avança dans la pièce, sans se douter de ma présence. Ma main droite se crispa. Rapidement, presque violemment, je retournais la chaise pour lui faire face….